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prouxt
6 décembre 2005

Igoûtir

A nia ni na nia na ni na nio Ne nu li ni a ou lou sse Me nu ti li ca la vé té liri se lu va ge ni so lê si ri ni sseu le Mais je ne sais pas si ly a Une immorice Musique vuture Puriste économétrique icréée Eu nu si ni sa na lê sê ni si lo so ne su ni si no a la si ni ê sê lê Et peut-être que quand les félicitations ne produisent que du mieux Là on a trouvé ce à quoi on doit consacrer sa vie Ominia la ca si ni se le ve nu si li a na lê sse Mê je ne sê s’il y a la u s’il y est encore utruve Mujunussinilia la lozisse S’il n’y a pas de vuu Utruque Mais s’il n’y avait plus d’histoire alohaque Corritinêle Sentinelle du crorps Popéténisse Surimmondice Pouêlêsse Mais je ne sais plus s’il n’y a pas encore des ventres en cale de seiche verte…puisqu’il faut des clous à mâter…des amateurs à mettre au clou…des cloués à mater…des amateurs de clou à mettre…des amers cloutés à muter…des cloueurs de mue luttée à main armée…à maintes vynils…la main dort où on la pose…on la lève et la peau lisse s’endort…hélice sans suie et Klaus Nomique…puisque parfois nous parangons ensemble…nous paraissons palabrer dans le délabré Hissène…qu’il assène des mots à sa dame…S’il sait ce qu’il sera haineux…maintes occurrences…position de combat druidique…et parfois nous paraissons palabrer dans le délabré Hissène, et il assène, débraie et hisse sa haine en écimant la tête de nos scènes au henné…l’henné mis dans sa culotte a rougi son épieu de combat, et les pieux ont rougi à ce con bas…poritrique…diurétique…diurne de don laid…dans les cœurs il nous trouve l’acteur couvert de fleurs solvères…mais s’il se peut que nous soyons soyeux…alors nous heurons heureux…mozart de tige…verte cabane d’istinction jusqu’art de trèfle cœur d’ivresse…cabane de bambou teint…tintin le bon bout…jusqu’à l’heure des fogs amoureux. Foxitude désuétude carmélite sacramélite médiélithe médiévale cuisine polyomyélite…l’élite des écrus sait encore laisser cru les histoires immondes qui courent sur sa toison…l’intention tuera l’art…Tueralair…Turin l’air de rein…toison s’embête ici…par ici d’ici…parricide Sissi, dis ce qui s’initie à l’heure des glauques trouées dans l’air pur des voies de garage calorifuges…puée de poîtes de con servent à manger des huîtres gélifiées, dans des stécateurs d’air pur…nos aimants nous aiment dans les violences de partout qu’il nous semble animer alors par les vols solitaires sortilèges cartilèges Carthégineux…Delenda Carthajouer, joue ton L Car-taco de bourre, itou. Parce qu’il passe par tous les coins du fou de vitre. Pourriture d’Uxelles, dût-elle nous voir dans un miroir de douces cliniques syllabiques, la biquette nous pête, honnête des cœurs tendrent nos vies en vitriolant nos abats-jours de quintette cuit de queue dans l’âtre des jours envieux…et parfois nous savons ce qu’il encroûte de coutrir plus vite qu’une messe de signes…Igoûtir…
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