22 novembre 2005
je gane dans l'oisse
Imananinatoucacunanisanissassênêsse
Eumeunussussinissanissênêssenessanissinanoussoussussinisalounanilinanuissine
Nelenêssênêssilinassanissenussinissanilisse
Nussinissanassolonissanissounussilaninanoussoulousse
Je ne sais pas s’il n’y a pas encore un peu de dissociation entre ces ventres et ces mastriques
Mais parfois il me semble qu’il se passe de longues journées avant que nous ne sachions
L’enfer du devoir
Petit tripoteur
Nussilinanisse
Je ne sais pas s’il n’y a pas des écrins plus lents dans l’éclisse cathurgique
Muscle superbe en déploiement cathédrique
Musique de genre
Suave surprise dans nos jardins de boulangerie
Enchaînés à leurs ordinateurs
A leurs bureaux
Et puis aucune confiance
Et puis cette dictature
Le monde du travail est le monde de la dictature
Il n’y a pas de liberté dans le travail
Il n’y a que des chaînes
Arbeit macht frei, un slogan nazi
C’est l’ époque actuelle…d’où cette dictature économique…le travail valorisé par une petite morale…pour les pauvres…et l’exploitation des pauvres culpabilisés...pour les riches…et la culture de la réussite facile dans les médias de divertissement…cahotique perpétuelle danse de la déséquilibrée aventure…
Il n’y a pas de chaise en laiton au milieu de ces gués lisses…
Mise de côté partout avec ce chantre de la dicciotommy
Plus qu’il ne nous en paraît nous assassinons nos virgules
Circoncisons nos automates
Ligaturons nos bavouches de bravoures
Ah la brave heure des défilés dantesques…douce caricature qui nous ancre dans la réalité…et il ne nous surprenait pas encore ce moment de licence
Où nous nous trouvions dans une pure
Défaite de la parole
Avec cette sanction perpétuelle au-dessus de notre discours…cette froide sensation de perplexité…
Perplexe…l’homme perplexe devant le monde…perplexité flegmatique…
Perspective flexible…extatique…exténué…groggy…valeureux dissocié dossier de chaise lustrée…et puis nous savons encore dépasser nos entremets d’où…parfois nous allons en vacances plus loin que le milieu de nos heures…parfois nous savons encore plus que d’habitude nous accoutumer à ces plaisirs liquides qui nous observent de haut…plaisants équipements de lustres clairs…mais je ne sais pas encore imaginer plus de pluie dans nos vies…
Verus vertes vertus de verre vice de violence vissée à son archet de violeur…
Puritaine sensation d’égalité…mais c’est comme s’il manquait un retour…un feedback…quelque chose qui te dit qu’il y a quelque chose qui s’est passé…
Quelque chose qui part…et qui revient comme tu le désires…c’est là tout l’intérêt…de ces précautions duxelles…diurnes sciure de cure de désinfection distante…puisons nos examens plus tard que demain dans des déchêts de croûtes de vie de couilles inouïes…puisqu’il y a parfois un meilleur envers que l’écriture de nos amours…laissons partout dépasser nos violences étouffées…marquons parfois un plus grand destin dans ces crinolines chrisostomiques…puisées à nos malheurs bleus…et je suis nagoissé…je gane dans l’oisse…
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