9 septembre 2005
Cru
Pourriture diurétique qui nous enclave dans une caricature sensible…
Misogyne situation de détresse sensible
Malencontreuse dérive des caractères misérables
Et en plus ils font des examens de liberté dernière…prouesse de satisfaction mielleuse
Mais parfois nous ne savons pas désenchanter les humeurs de vérité grosse de désillusions
Mais tout n’est pas encore désastreux dans ces cols de liberté ensanglantée
Et parfois nous savons dire des hommages tendres à des courbes voies directionnelles
Et puis il y a toujours quelque chose de latéral dans ces envies de luxure
Puisqu’il n’y a plus de liberté tendre
Puisqu’il n’y a plus de livraison de loutre verticale amenuisée par un expert de location avec tout ce qu’il lui faut de liberté intégrale
Mais parfois je ne sais pas encore diriger tous ces ennemis vers une voie latérale en cloture de genêt surpide
Parfois nous savons libérer tous ces êtres de leur nidification aluminée
Et puis tout n’est pas encore libre dans ces voies labyrinthiques
Mergen’ai pas pu dire plus directement ce qu’il me semblait amenuisé dans un parcours de différences sombres…je ne sais que faire pour immerger de plus grands êtres dans ces forêts atlantiques…vérifions des odeurs grises…matérialisons des encablures cendrées…déconstruisons des êtres qui ne nous paraissent plus libres pour enfin décrire des situations magistrales…correctrices…musicales…salutaires…louangeuses…miraculeuses…modestes et clientélistes…puritaines et crève-mitaine, mais d’abord qui nous aurait dit il y a cent ans que quelque chose de plus tendre aurait raison de nos voies de séparation…
Muse de partout, nous n’aurons plus d’histoire à violer quand les meubles de l’amiral seront crus…
Puritain…
Puritain…
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