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prouxt
25 juillet 2005

Pruritrain

Amusant Immonde Sensationnel Cadavérique Catatomique Zobre résistranse Puritainedéconfite Pure confiture De crédit calomnié En dépit de toutes ces sensations caractéristiques d’une plus grande validité Vilenie salutaire Et puis de toute façon nous ne savons pas encore défricher tout ce qui nous paraît invincible Mais il y faut un peu de repos Et puis de toute façon tout ceci me paraît un peu bloqué Ce sont choses difficiles à décoincer Travaux hypothétiques à portée lointaine Accidents à corriger Déceptions à engranger Séductions forcées Il préfèrerait une route tranquille dans la campagne défilante Et puis un peu d’or de tournesol dans l’après-midi du Sud-Ouest Quand on va se baigner Et faire la fête le soir Et qu’on est un peu étourdis quand on rentre chez soi ensuite Parcequ’on est trop habitués au grand soleil Evidemment les enfants n’arrivent pas à comprendre cette immense lassitude qui atteint les adultes Quand ils ont renoncé à trouver leur plaisir Et se contentent d’un repos immobile Où ils savent au moins ce qu’ils savourent Le retour à des plaisirs d’enfance uniquement Dans l’immobilité Qu’ils proposent comme horizon Ah il serait intelligent de revenir à cette vie animée, qui faisait nos rires et nos extravagances Mais plus rien n’est possible Plus d’argent dans la recherche de soi Plus de temps pour la fête Plus d’espoir de trouver un soirée qui nous plaît Plus d’envie d’organiser Tout ceci paraît si difficile Plus de disponibilité des autres Il y manque de la disponibilité Des vrais vacances avec de l’argent et sans préoccupations Eternelle nostalgie de l’âge étudiant Quand je ne me souciais même pas de ce que j’allais devenir, Uniquement boosté à la réussite scolaire et aux soirées rythmées Alors que tout était alcoolisé Que nous roulions sous l’emprise de l’alcool Que nous ne savions plus ce que nous faisions Et qu’il n’y avait même pas de jouissance sexuelle Mais cette liberté Se retrouvaient chez moi des gens que je ne connaissais pas Qui faisaient la fête Et qui dansaient Et qui riaient Et qui noyaient un peu leurs angoisses dans l’alcool Mais qui paraissaient cependant avoir une certaine perspective dans l’existence…difficulté Cadavérique Tant plus alimentaire qu’allemande Je ne sais pas si un jour ces énarques seront confrontés au choix révolutionnaire Miraculés de la caricature suppliciaire Et puis de toute façon nous ne savons pas ce qu’il nous convient de dire Musique culturelle Calibrage silencieux Slip marital en désespoir de furoncle blanc et noir Puisque de toute façon dans ces rues de Bonn qui sentaient le Mc Donalds et le sandwich turc Il n’y avait que les magasins de musique et les sex shops pour mettre un peu d’animation Et les restaurants où l’on mangeait de la viande, beaucoup de viande, rotie, des gibiers, toutes choses intéressantes…semoule, couscous, malthusianisme, calembredaine, emberlificotation de muscle supérieur en vertu de nos amours lubriques…tout ne se passe pas mieux dans nos vies noires…mais je ne sais pas ce qui se passe, et puis de toute façon nous ne savons pas toujours ce qui se passe, dans la rue du Sud-Ouest, Delaunay et Castelnaudary…en vertu de nos âges tendres… Musique doucement subtile d’un avenir brut Et depuis de toute façon nous ne savons pas tout ce qu’il y a de plus intéressant dans ces désintoxications volumétriques Où tout nous semble plus influent qu’une histoire caractérielle Et puis de toute façon nous ne savons innover dans ces trains caricaturaux En vertu de plus grandes longueurs amateuristes Et puis si jamais nous avions de délicieuses sciences en conscience Si nous savions tout ce qui n’est pas encore solitaire dans ces vertus profondes Nous ne savons que dire tant qu’il n’est pas établi que toutes nos erreurs ne sont pas si fondées En dépit de nos vies malsaines Ou nous décidons d’attirer toujours plus de monde dans ces cadres amateurs Puisque tout n’est pas encore silencieux En dérive de locution amère Mais je ne sais pas toujours alimenter cette conversation maritale Mais tout n’est pas plus grave dans ces lieux allumés Et puis tous ces gens semblent enfermés dans la tour d’ivoire de leur jugement moralisateur Pudique dissenssion en otages de caractère. Et puis de toute façon nous ne savons pas dire ce qui nous embête, En caramel de subsistance dorée Et puis tout n’est pas encore dit tant que nous ne savons pas vivre nos contradictions de façon plus lubrique De façon plus libruque De tourte caractérielle Façon d’être plus entravée dans nos secteurs de prédilection Et puis tout n’est pas encore déterminé par cette sauce amulette Dans ces environs amusants qui nous attirent dans ces temps contrastés Mégisserie suivante Epuisement dalescent En vertu de nos vies irradiées Puisons nos êtres dans ces voitures de circonstance En dessous de nos abris anti-nucléaires Enucléés Et puis un jour nous retrouverons-nous peut-être à Londres, expatriés de l’Anglais Puisant dans nos existences tout ce qu’une sonde nous apporte de plus intelligent Découragés par ces grises lysergies Qui taisent toujours plus nos envies en poésie pure Mais il a cassé mon inspiration. C’est ce que je lui reproche le plus. En définitive, c’est cette brisure dans la ligne de l’élaboration imaginative Qui travaille le plus mon cerveau enferré Dans ce métal travaillant Puisant dans le vaisseau de l’encre noire qui me sort par la plume Déception dératisation défenestration Cendre de cigarettes mouillées et mélées à la terre de la culture détruite…puis reconstruite musicalement dans une horreur de dédales alimentaires et vicieux, dosés auprès de nos nuits oubliées comme un sordide département de pêche rurale…boudoir de vérité tyrannique Qui nous observe depuis sa prolifération caricaturée Caramel de nos envies brûlées à l’impétrance tragique Puisant dans ce sens tragique une mortification maoschiste Pour expulser du cerveau les cadres les plus encadrants Les brimades les plus brimantes Les sructures les plus acides Les plus sclérosantes…les plus métalliques du cerveau cru…le couteau dans le tartare frais et naïf Qui se laisse faire par gentillesse…remuons le couteau dans l’appellé…remuons l’appeau dans le coutelaid… Bizarre désespoir Bruyant Aristide Apôtre des époques aporétiques En déviation de sortie imminente…désespoir lancinant de nos veilles caritatives Ou ne nous sommes pas assez exprimés sur ces déceptions latentes ? alors que nous ne savons pas encore désintoxiquer tous ces êtres cradingues Durement épluchés dans ces verres Variqueux duveteux souffreteux désintoxiqués allumés satrapes frapadingues sacripants désintoxiquants allumeurs verdureurs la verdure est dure quand le futur est luxure et puis de toute façon nous ne savons pas Véritablement Si ceci n’est pas encore une histoire de violence marquée au coin de la compétition Et puis il s’agit aussi de savoir Ce que l’on peut faire et ce que l’on cherche Il y manque la création collective Il est vrai que cette création solitaire N’est pas véritablement ce que je cherche Même s’il me paraît évident qu’il est nécessaire que je sache avoir avec moi-même ces conversations déliantes Mais il serait en fait plus sympathique de savoir Enfin de savoir délier ces mécanismes délurés Ces activités encrassées écrasées empilées Pour les détendre et savoir à nouveau ce que nous ferons de tout ce savoir accumulé pour placer à nos côtés ce qu’il me paraît nécessaire de savoir Cette popularité du goût qui Musique Sculpture Architecture Il nous semble que serait mieux Endimanché En chiotte de brosses cavalcadées Et puis si je ne sais pas exactement Comme un juif d’Europe Centrale il est paranoïaque, économe, attaché à ses origines, la nostalgie de sa terre promise, et il a les yeux bleus délavés et le regard préoccupé par la situation politique Toujours en sursis…misérable cruauté que nous ont fait subir ceux qui savent qu’il est nécessaire de décliner enfin sur toutes les voix carminatives Que nous ne savons pas encore disposer de ces environs soucieux En plus de décrire nos habitudes alimentaires Il nous semble plus onctueux de pétrir nos grimaces en pollution aquatique Tant qu’il nous reste des médecins Il serait enfin nécessaire qu’une voie soit poursuivie Sans qu’elle ne se trouve contrecarrée par ces épés diamantaires Et savoir à nouveau découvrir dans l’instant ce qu’il a de plus intéressant Plutôt que de somatiser sur le destin cruel qui nous frelate en plus de ces niches idoines puantes et virtuelles qui nous apparaissent parfois si lointaines et si peu enviables en même temps Comme la parabole d’un avion décollant au jour de la cigale aurorée Et puis ces vices musicaux qui nous dissuadaient de travailler en toute intelligence Puisque partout nous savons savonner les planches de notre imagination en rupture de désinfection amusante Il faut aussi savoir progresser même quand on estime qu’on a tout bien fait…il faut savoir passer à autre chose plutôt que de répéter un succès…en améliorant ces formations logiques qui nous précèdent…savoir apprendre de nos bourreaux malgré eux…ils ne sauront pas ce qu’ils nous ont légué de positif…parce qu’ils ne doivent pas le savoir, ils regretteraient encore quelques geste tendres que leur capacité à apprécier autrui aurait pu laisser échapper du fond de leur prison psychologique…entourés de ces guêtres de circonvolution cuisinière et convenue…les empereurs de la déprime en psychologie de bazar attachés à exporter leur névroses Amenuisés par ces reconquêtes Ils sont malheureux et veulent le rester Et surtout emporter avec eux ces définitions de la critique miraculée du pluralisme criard qui les emporte en croûtes de saturation volaillère Les pustules de leur orgueil obscurcissent leur lucidité névrotique…pouelles Ceux qui ne savent pas modifier leur jugement quand la réalité dépasse leurs a priori De peur de se transformer Mais l’équilibre dynamique Dyonisiaque Diodémique Totémique Tolmétique Olmétique Pascal olmétique à ce récit criard…parillard…paillard…égrillard…un compétiteur a su s’extraire de ces légendes coryphées…et puis tout n’est pas plus dissocié que ces imaginations violentes Des brutes sans élégance morale…porcs de constitution prétentieuse…autosatisfaits en premier lieu, avant d’étendre sur ceux qui les égalent et les dépassent leur filet de fiel malpropre…dévastateur…mal vécu…sirupeux…tueur…vulgaire. Poritiliniasse…j’eûs aimé un peu plus d’humanité dans ce qui paraissait une aventure amicale…poulet de serpent doré en caramel de tête de tigre raréfié Il va bien se produire une humiliation salutaire Qui va faire écho à ces désespoirs trouvés Par ceux qui n’obéissent qu’à leurs pulsions L’économie pulsionelle des barbares Je préfère le léger ennui épisodique de la civilisation…à ces débordements d’humeurs sanguines, violentes et prédatrices…les aspects les plus vils de la nature humaine…ça ne les aidera pas en définitive…ils en seront victimes en dernier lieu…masure de la pensée…éclair tueur du perfectionazisme coutelas de décision sanguinaire et stupide…réactivité bloquée à la base du cerveau…envie de frapper déterminée par un mépris fondamental de la personne humaine…en victime de tueries mécaniques…salopardes…cruelles…molièresques dans leur inondation de veulerie, mais carabinées et caparaçonnées dans des litres de bile désavantageuses…rancunes de ce qui s’est passé en présence de l’arbitre…le droit de faire ce que l’on veut en-dehors du regard de l’arbitre…la mort de l’arbitre…la mort du droit…la liberté de tuer…la nouvelle barbarie qui s’est abattue sur les civilisations occidentales et qui nourrit le dynamisme économique…comme s’il n’y avait que ce moyen d’assurer la subsistance des populations, que de faire appel à leur animalité…mais évidemment il n’y a plus de construction d’un mythologie, d’une utopie collective qui redonne à chacun le sens de son existence pour autrui…alors il faut faire de l’intérêt personnel le motivateur pour entretenir ce charnier de l’imagination, cette barbarie de l’humanité et de la douceur de vivre…ce discours est antipolitique par essence, et machiavélique donc corrupteur par principe…le mal de la poursuite de l’intérêt personnel pour le bien du dynamisme économique…mais dans tout ça, c’est l’idée d’humanité et de fraternité qu’on exclut…et c’est à la guerre qu’on appelle…ce n’est pas nouveau, mais c’est toujours le même comportement qu’on nous ressort comme panacée…par la voix de ceux qui ont la plupart du temps subi le plus durement la loi du plus fort…alors les victimes deviennent bourreaux de façon encore plus violente à leur tour…malice magirolie résilience évidemment savoir dépasser tout ça Mais il y faut beaucoup de solidité mentale Contre ces injonctions flagellatoires, masochistes…le discours de l’intérêt personnel est masochiste, parce qu’il incite à faire mal à autrui, donc à l’humanité, donc à soi-même…à moins que ces gens n’aient absolument aucun sens de l’égalité entre soi et les autres…absence d’empathie…l’empathie désempathique compathique…compempathibilité désanalytique Puisanalaytique Subanalytique Misanalytique Disanalytique Distyque Diptyque Surreptyque Il tique à ce tichorème Puéril Misogyne Maroille Subreptice mise en désituation calibrée Et partout nous savons déduire de ces vertus un plus puissant distant amusement alors que nous savons toujours amuser nos ennemis En vertu de ces troupes cruelles qui peuplent nos ambiguités Et puisque parfois Il est nécessaire que j’aille vers ceux qui prêchent l’inverse de ce que j’ai vécu Vers ceux qui pratiquent la mise en adéquation des volontés d’autrui avec les siennes La direction motivante Et plus j’en ai souffert, moins je veux en faire souffrir les autres…amulettes désamulettes Malunettes Mais bien sûr Mais comment fait-on pour diriger sans ces indispensables rappels à l’autre-rappels à l’ordre ? la direction n’est-elle pas forcément une dictature ? la démocratie a-t’elle une place en économie ? C’est véritablement là que se situe le dilemme Si on avait l’impression que les entreprises vont dans le sens de l’humanité, peut-être plus de Français accepteraient-ils d’y travailler, de leur consacrer de longues heures Bien sûr l’économie n’a jamais été philantrope, ni morale dans son essence Mais s’il n’y avait pas tant de personnes qui se permettent d’opprimer les autres en jouant de leurs responsabilités professionnelles Tout ceci ne serait peut-être pas si difficile Mais c’est au cœur de la machine Alors qu’on nous dit que le problème est mécanique Que se pose la question du sens et du comportement. Alors alléger le poids de l’Etat pour donner plus de liberté aux initiatives individuelles rendrait les positions de direction moins difficiles, et allégerait les rapports de pouvoir ? Je ne pense pas que la violence des relations de travail que j’ai pu vivre y compris dans le monde anglosaxon aille dans le sens de cet argumentaire…je pense que plus le champ est libre, plus il y a de profit à tirer de tout ceci, plus l’avidité domine et plus l’agression est permanente pour ne rater aucune opportunité d’écraser socialement autrui…de toute façon l’écrasement social commence au sein des relations entre niveaux hiérarchiques d’une organisation…la façon dont un niveau affirme toujours et partout, au prix des pires conneries, sa supériorité…j’ai raison parce que je suis au-dessus de vous…putain maritale…posée de travers dans le guingois de la guignolerie maritime…pluie de circonstances…et si je me donnais une semaine pour écrire ? ne serait-ce pas si mal en définitive ? plutôt que ces reliquats de décisions amenuisées….
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