13 juin 2005
No ni na nus clat
No ni na nus clat
Calis
Surréaction
Approximation
Déstabilisation
Engorgement
Destruction
A terre
Par terre
Mort
Pétri
Détruit
Calembredaine
Malfaiteur
Taxi silencieux
Musicalité cadavérique
Pulsation difforme
Mazurka débile
Salutation caractérielle
Prêt à sacrifier son foyer
Nomadisme silencieux
Verte mousse sur mur de quai
Propagation collagène
Calimaté
Calamité
Calité
Callisté
Musique silencieuse en vertu de quel tourbillon
Art brut
Aerbrutdémo
Arbrutdémo
Ararbrut
Art abrut d’émo
Art brut d’émotion
Parissale
Laparissale
Passilade
Passillade
Il était une fois une jeune homme qui voulait être écrivain
Et sa vie
Et il dérivait
De plume en lumière
De luminescence en ombres
Plurieuses
Pleurieuses
Pursicales
Mursicales
A Bonn
Salutation
D’un trottoir gris, massif , provincial, silencieux et ensoleillé
Alone in Barcelon
L’homme ne sait plus si l’aune de son désespoir sera plus grand qu’une tige de carbone cendré
En plus des ces olfactions caractérielles
Qui caractérisent nos pulsations individuelles
En tout état de cause
Il nous est plus avantageux de savoir dire
Qu’il y a toujours des vols aventureux
En clé de parcours
De toute façon il est une drogue
Qu’il ne faut pas arrêter de prendre
Ne pas perdre le chemin de cette ruelle qui s’enfonce sans visage que d’ombre
Dans le noir luminescent
Cendré
Attristé calatrissé
Herbacé
Herbatristé
Migniatrice
Il y a des vins qui vous séduisent tout de suite
Puisse t’il
De fleur
Le leurre de ces fleurs
Est-ce le leur
Et parfois il faut avoir l’environnement
Qui nous paraît immédiatement
Amusant
Et pourtant ce n’est pas une petit fille
Saloparde
Moche et cruelle
Qui nous attriste en ces lieux vils
Tout n’est pas plus lent
Alors que nous ne savons pas encore luire
Et pourtant il y a l’énergie
Il y a du talent
Mais il y manque de la facilité
Mais il y manque de la facilité
D’une certaine façon il serait plus facile de séduire
Celui qu’on estime le plus clair
En plus de tous les autres
A mesure que nous amenuisons
Ces chaleurs virtuelles
Toutes ces petites frondaisons nous surprennent par l’écueil qu’elles dégagent
D’une certaine façon je n’arrive pas à passer d’une marche à l’autre, ce ne sont que des pas sur une route plate, dont la fin n’apparaît pas évidente
Alors qu’il me semblait qu’une certaine réalisation des désirs pouvait être espérée des ces efforts tellement profonds, et si peu rémunérés…un genre de trappe à destin dans laquelle je me trouve…comme une espèce d’ornière sans ornement, ni ornythorinque, même pas sur l’Orénoque pour rêver ni avec de l’Orelox pour se soigner…A l’orée de occis fatum
Un, place de la Martine sinueuse
Et puis tous ces bois de licence nous font tellement plaisir qu’il me semble nécessaire de savoir à nouveau détruire tout ce qui nous semble le plus intéressant
Avant que de rentrer à nouveau dans ce monde sucubre…
Purée de rigole lotharingienne…et puis de toute façon nous ne savons pas encore ce qu’il nous faudrait faire pour amener toutes ces personnes
Et puis je me renfrogne encore un peu plus
Et puis les crises autoritaristes se font encore plus fréquentes
Et je ressemble de plus en plus à mon père
Et mon fils va me mépriser de plus en plus
Et l’amour de mon amour va se tarir
Et les heures passent et la mort approche
Alors que je ne me suis pas donné
Tout ce temps perdu
Pour faire mieux…au mieux quelque chose de splendide, de différent, d’accroché, d’accrocheur, d’anicroches, d’acrostiches, de postiches, de potaches, de potages de poule, de soucoupe de scoop, de poutre lutrinesque, de lutrin vert et ambroisé
De dacavérique solution
De cadavérique solution de bonheur pur
Et puis tous ces luisants doublons qui nous sentent inutiles
Qui nous semblent inutiles
Qui nous semblent inuit
Qui nous semblent in Huit
Qui nous semblent en huîtres
En outre de foutre
Cacaractériel
Marestel
Cigoingoin
Et puis toutes ces loutres vautrées dans un functus fungit, dans un funghi fongicide, dans un fonge fongatoire, dans un fogon falaguique, chagallien, chien de galles, gale de chien, Galzéro, Calézun, Garzin, Cazal, Cajun, Casanier, Kaza niais
Année de fuite en luge superbe
Et puis toutes ces outres en photos dans les folliculaires
Vitrines de tarte à Times Square
Il leur semblait qu’il s’agissait de cynisme, il me semblait qu’il y avait de la critique
Puissante et vomissante
Qui utilisait les armes d’autrui
Pour conduire des dérapages salutaires
En meilleure place dans l’air des immondes correspondances
Alors que tout nous semble plus utile
Que si nous n’étions pas encore apparus plus drus que nous ne sommes,
D’russes enturbanés
Et puis en plus il faut de l’écriture
En revue de lucidité galbrecht
Glabre sabre et cruzille lucide, Lucille Sullyce, suppliciée dans une monde cohérent,
Malgré toutes nos mœurs amazones, à mes zones cendrées nous ajouterons des ammoniaques adultérins,
Mais parfois il nous faut des drues druzes, tachoum atchoum, Arkoum, ach, Humanitäre Gesundheit, well you kiss the undertone of our sympathy, Mahogany, ébène, ivoire, crise enfantine…patin de délicatesse cryogénique, tout ce que je saurai, j’ai peur de finir en artiste maudit, et puis il y a les modes, modiques, et puis parfois il ne se peut pas qu’il soit plus engagé, embué, emballé, de la petite merde en musique, alors que nous savons déjà qu’il y a des moments où nous savons nous servir de nos œuvres pour commander un commando de surprises suppliciées
Et puis de toute façon il y a un moment où les gens ne veulent pas savoir, la noirceur de ce sur quoi leur confort est assis les effraierait…l’horrible secret les hante…defunctus de funghi défointe défiente l’amer des crottes utrechtiennes
Mais on aimerait de temps en temps aller visiter en Allemagne un musée d’histoire romaine dans un grand parc, avec des Biergarten, zum Wohl…Und das ist nicht die letzte Sache, dass wir machen möchten…Ich hatte Lust, einmal mein Bein im Kunststoff Bad zu legen, um zu füllen, was eine Erniedriegung der Deutigkeit verursachen würde…je n’ai jamais su l’air que ces formulations savammentes pouvait me donner…Aux yeux des autochtonnes de détritus automobiles…pétroliers…pétrole…porte de sublimation catilinienne…mais je ne sais pas s’il ne serait pas…dissociation…et puis un jour la culture entière a sombré dans le maëlstrom…l’équivalence de tout, la disparition du jugement sensé, la surréaction à des évènements isolés, a provoqué la prise de pouvoir du délire…sur la pensée rationnelle…mais la majorité avait raison…et parfois il faut savoir qu’un cuivre QI est plus ambitieux qu’une grenouille cuirassée, qui aurait consacré beaucoup de temps à son œuvre, en omettant de penser à l’acquisition des biens communs…dans les lieux communs…
Porridge soufflé sautel caractère
Et puis ils se demandaient comment ils avaient pu passer autant à côté d’un esprit aussi peu structuré, comment ils avaient laissé se développer cette capacité monumentale à la déraison, ce délire soliloque qui ne laissait qu’un nuage de particules anxiogènes, charriant tous les défauts de la luminescence poudreuse, une inanité solennelle et prétentieuse,
Mauvaise direction donnée à ces jours sans lumière
Pafois il me semblait que le chemin s’était éclairci
Et d’une certaine façon il était plus facile de dire
S’il m'était possible de progresser…
Et puis d’autres fois la vase reprenait ses droits
Et puis d’autres fois l’absence du remède faisait paraître la maladie sans rémission possible…
Et puis il me reste toujours ces après-midis chômeuses
Où il est possible de coucher sur l’écran
Ces agonies de la pensée, ces petits bouts de quelque chose, une plante un peu sèche dont la feuille coupe…
Maure de pure truelle
Couleur de coloration colophane
Collagène gêne l’école de Gennes à Gênes
Mon à Gennes, da, biite
Maille à Kovski, Pearl à Rebours, Musé aux graphiques, Maury tourista…
Mais je ne sais plus licencier
D’une certaine façon c’est une maladresse sans nom,
Une petite instabilité
Qui se transforme en crise de surréaction
La pulsion de côté s’impose comme unique
Mais il faudrait de la méditation
Pour regarder naître une autre solution
L’Histoire n’a-t’elle pas tout le temps ?
Alors qu’ il serait si fragile, si facile, de mûrir
De décomposer cet air frais qui nous gagne
Dans les voitures et leur fond sonore continu,
Indiscontinue, comme disent ceux qui dansent à Redon
Maurice tuerie
Musicale
Pusillanime
Il puise et il anime
Il la mine à Nîmes
D’une certaine façon il me semble maladroit
De vouloir saisir toutes ces occasions pour opacifier
Ossifier
Les losanges sanguinaires qui nous animent de leurs flammes torches luxueuses
En partie décomposées pour leurs données usuelles
Et puisque tout s’éparpille
Dans ces villes lustrées
Et que toutes ces vérifications nous semblent
Comme d’une personne qui voudrait tout
Eliminons d’authentiques soleils en viles hyènes de combat cratilée
Mais tout n’est pas encore soliloque, mais puisque vous savez toujours l’ouvrir à vos océans ébahis, marvelous soleil de Lusitanie suppurée…
Mais je ne sais pas ce qui vous empêche de restituer tous ces couverts de lierre sombre…alunissons en sommeil, pendant que la chasse nous entraîne vers le fond de la rivière, docile, Malaussène, Sa…
Et puis de toute façon il ne me semble qu’il ne soit pas
Amusé par ces éclats de licence grise
Soupe aléatoire dans laquelle des rats caramélisent
Agréable distortion d’une olfaction amusée
Puisant à ce trou de lugubres soupçons
Losanges
Et oublier l’opinion et le goût d’autrui
Entre deux alambics cadavériques
Et fare uscir une belle Jewel
Une superbe distincte tâche de sublime
Pouesse sans en vaoir l’R
Sulission
Sullyssion
Supplicions les suçons succints qui sur nos seins suintent de sutures surannées et serinnées
Et puis parfois il nous prend l’envie de démarrer un nouveau colonel de glace
Mais ne pas voir cette libération de façon jalouse
Mais au contraire comme une aération nouvelle
Et puis il y a toujours les coches alunies
Qui nous abritent derrière des parapluies à ressauts allumés
Et puis parfois ils nous lancent des torches salutaires
pour nous dire qu’il y a une truie derrière
puisée à l’encre des fultons humiliés
il descendait en volonté au rang des ancres de considérances,
des idées rances en avenues devenues survenues cruvenues menues venues nues…
et puis tout était aussi soufflé par ces mots sirupeux qu’on se paie
s’il te plaît conspecte le incamp
le 1 cancon, l’Incalcio, Rancio de case lubrique fituelle
rituelle, superbe, docile, clandestine, simagrée, allumée, et ne pas se laisser contaminer par ce qui ressort de la volonté de faire de l’effet à telle ou telle personne
l’essentiel est ce voyage qu’on fait au bout de la vision
creuse coque en bois léger dans laquelle la lumière scintille et dessine les strates et les ombres, mobiles.
Puritaine action de déconsidérer la violence sexuelle
La clarté de la chair
Luxe de l’homme moderne
N’est plus rare
Dans raie il c chaux
Puce il anime
Pussi
Pussy
Méritante
Entêtante
Militante
Malveillante
Affrétante
Caractérielle
Monastérielle
Monastérienne
Filiférienne
Multiférienne
Fôlatrielle
Folâtrielle
Folatrîelle
Folatriêlle
Folatriellê
Il était fouettard
Le père spirituel que je m’étais choisi
Et en deux temps il avait réussi
A ne pas me
Rassurer
Tout n’était pas encore surpris en demeure de suffrage
Et pourtant il y avait un destin
Et de la résilience
Résilience du destin d’écrivain
Le Résilient
Politique
Assigné à domicile
Résilience contre sentiment d’inéluctabilité
Et pourtant
Il doit être possible que cette résilience existe
Résilience
Et son processus
Caractéristique…
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