16 décembre 2005
Chromique
Et parfois il se trouve comme une impossibilité d’adhérer
Quelque chose qui ne veut
Pas encore définir
Son opposition
Par extension
A cette situation
Malencontreuse
Malophile
Mauvais distinction d’un univers tendre
Alors que nous nous trouvons quelque part
Dans une destination
Déconnecté
Déconné
Des connes en filature
Milliard de voix abusives
Polé
Coliniqué
Polémique, Victor
Puisque
Porridge vertueux
Nous ne savons pas encore ce qu’il serait plus important de faire
Alors que nous savons déjà
Peut-être est-ce au prix d’un écrasement de la volonté
Qu’on parvient parfois à déduire une raison de ce seuil de circonstance claire…solitaire…sori…souris de souriceau déchaîné
En fait je me sens mieux
J’en ai assez
J’en ai trop
Morille de volaille carénée
Fuite dans un temple
Enfin un peu de framboise autour
De ces lucernes sous les avalisés
Cousteau de mer en poivre dur
Yéti
Queue
Pluche de cercueil
Modèle d’arme longiligne
Alors que nous nous trouvons dans un véritable attentat de circonstances funéraires
Imbus d’eux-mêmes
Orgueil des fleurs dans un chant vaniteux
Plusique
Pluisque
Puisque la musique cluisse coulisse le long des écoulisses
Des écrouvisses
Adhorées
Molestées
Molybdaigne nous atteler à ce cheval de proie facile…puisqu’il n’y a pas plus Achille que ce serpent qui n’est pas trop clé en main, il a lu lisse la vérité avant que ne parisse l’amen hélas déjà donné aux héllènes en agapes que nous menons jusqu’à ce que casse entre mes mains cet aîné déporté…
Molybdhaine de soi
Chromique
Désolé de partir alors qu’il n’y a plus d’espoir
Que ce soit à la violence de nos écrits licenciels
Que nous le devons
Ou que nous lancions dans l’autre vertige
Une masse de décoction
De déconcoction
Et puis parfois on se demande si on supportera toute sa vie
Cet écrasement de la sensibilité
Alors qu’il doit bien y avoir une position plus avantageuse
A moins qu’il n’y ait quelque chose à faire à l’intérieur
Linéarité
La tentation de la légende noire
Mollusque décérébré
Qui cravite et grapote le long de la plage
En endurcissant sa croûte de songes lascifs
Et donnerait tout son or pour rester quelques jours comme ça
Au soleil
Licencieux
Déséquilibré
Décérébré
Sans entraves nonagénaires
Pour dire qu’il a réussi
A se ménager
Puisqu’il y a
Un antre en devenir
Soupçonné par sa déconcoction
Suivant nos traces
De lyuxure verte
Totalitaire totalisé totalitarisé
Par ces autorisations
Par ces autotalitarisations
De tuer en vertige
De livrerté
Puissante doléance alors que nous savons
Que partout se dévoilent encore des temples de masure
D’embrasures solitaires
Vélos de songes morts
Autour de nos puits immombrables
Tout ce qu’on aimerait désirer quelque part nous sera offert en lieu et place de ces réveils scandinaves
Avocats de nos autos machistes
Loucereux puisqu’il y a des atomes inertes
Dans ces recueils de recoins suivant nos abris de livres suivis par la suie des ivers ibères
Jacques Ibert Jean Tibère Gentil Baer
Gens qui bare
Jean qui barrit
Dans ces bars à l’envie
Dans ces barriques de côterie
Où l’on se tient les côtes
Au curry
Tandis que le cul dit
Qu’il y a une barre
A ternir pour barrater
Ce que Barras a proposé à Barabas
Tandis que Bartabas abat son Abbas
Dans les cares au tamis. Sol de force !
Pouilly Pu-yi
Pouing de force nous tombons dans l’éponge des pollutions vitriolées
En vertu de nos cimetières
Simiesques
Cimulés au sommet des songes…
Porri
Poux d’Ingres
Delacroix de l’hiver
De la tour de Nesles
Et du diable Vauvert
L’air en est sombre dans les mots du climat
Alors que tout inciterait
Lucide sans auto-dénigerment…
Un régiment de soutien aux forces alliées
Un régiment de soutanes
Camisolées du monde
Camisole de farce brune
Enfer et damnation
Envers la dame Nation
Qui nous triture la barbe, la bite et l’Ulrich
Et s’endort sous l’action
De l’anxyolitique
Avant que l’ancre ne scie au litre…
Disent les sectes sikhs…
Sakhs nokhs khrême khâgne khatalcoolique
Lic de lic
Lascif de l’if tronc
If nous faisions des dessins dans les dents de ses seins
Enfin il me permet
Enfin il me semble
Que partout il y a une possibilité
Grâce à l’écriture
Lascive
En plus des écueils cruels que nous passons
Partout où nous allons
En vertu des domaines qui nous tentent
En plus de partout
Nous savons où aller
Partout où nous allons
Tout se dérègle
Tout se détraque
Tout se foutrique
Et puis pas de plus grand plaisir
Que d’écrire
Sur Pharoah Sanders…
Godfather has a masterplan…
Godfather has a masterpalm…
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